Blonde à forte poitrine

Berthoux

Hier au soir dans la cuisine
Une blonde à forte poitrine
A bien voulu sucer ma pine
Et me dégorger le poulbot
Et j’ai joui comme un sabot
Et j’ai joui, tell’ment joui
Que j’étais beau
Dimanch’ matin dans la piscine
Une blonde à forte poitrine
Taillait gaîment la triste mine
De mon pauvre petit crayon
Et j’ai joui comme un pébron
Et j’ai joui, tell’ment joui
Ah c’était bon

La vie est faite de caresses
Que l’on soit tout que l’on soit rien
Il y’a toujours une princesse
Pour nous faire du bien
Alors que je lisais Céline
Une blonde à forte poitrine
Me fignolait la galantine
Jusqu’à l’écume du plaisir
Et j’ai joui comme un fakir
Et j’ai joui, tell’ment joui
À m’étourdir
À la chasse à la Colombine
Une blonde à forte poitrine
Jouait avec ma carabine
Quand soudain le coup est parti
Et j’ai joui en confetti,
Et j’ai joui, tell’ment joui
Oh sapristi
La vie est faite de caresses
Que l’on soit tout que l’on soit rien
Il y’a toujours une princesse
Pour nous faire du bien

Dans le pétrin et la farine
Une blonde à forte poitrine
Pétrissait dru mon aubergine
J’ai tout lâché sur ses roberts
Et j’ai joui c’était d’enfer
Et j’ai joui, tell’ment joui
C’était super
Tous les lundis, c’est ma voisine
Une blonde à forte poitrine
Qui me butine l’églantine
Jusqu’au débordement fatal
Et je jouis dans mon futal
Et je jouis, oui je jouis
Ah c’est brutal
La vie est faite de caresses
Que l’on soit tout que l’on soit rien
Il y’a toujours une princesse
Pour nous faire du bien

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